Mes 4 à moi
Merci à admin word pour l’invitation ;)
Les 4 livres de mon enfance
- Sans famille (Hector Mallot)
- Les voyages de Gulliver (Jonathan Swift)
- Les misérables (Victor Hugo)
- Le rouge et le noir (Stendhal)
Les 4 écrivains que je relirai encore et encore
- Mahdi Elmandjra
- Paolo Coelho
- Marc Levy
- André Malraux
Les 4 écrivains que je ne lirai probablement plus jamais
- Mohammed Choukri
- Taher Ben Jelloun
- Siham benchekroun (très déçue par oser vivre)
Les 4 livres de ma liste à lire ou à relire
- Les identités meurtrières (Amin Maâlouf)
- Lazare (André Malraux)
- Jardins publics (Pierre Sansot)
- Le prophète (Khalil Gibran)
Les 4 livres que je suis entrain de lire
- Les mots du monde/identité
- Maktub (Coelho)
Les 4 livres que j’emporterais sur une île déserte
- Et si c’était vrai (Marc levy)
- Harry potter :)))) (tous les tomes)
- Jardins publics (Pierre Sansot)
- Le prophète (Gibran)
Les premiers mots d’un de mes livres préférés
"D'autres que moi auraient parlé de "racines" ... ce n'est pas mon vocabulaire. Je n'aime pas le mot "racines", et l'image encore moins. Les racines s'enfouissent dans le sol, se contorsionnent dans la boue, s'épanouissent dans les ténèbres ; elles retiennent l'arbre captif dès la naissance et le nourrissent au prix d'un chantage : "tu te libères, tu meures!" Les arbres doivent se résigner, ils ont besoin de leurs racines ; les hommes pas. Nous respirons la lumière, nous convoitons le ciel, et quand nous nous enfonçons dans la terre, c'est pour pourrir. La sève du sel natal ne remonte pas par nos pieds vers la tête, nos pieds ne nous servent qu'à marcher. Pour nous seules importent nos routes. Ce sont elles qui nous convoitent - de la pauvreté à la richesse ou à une autre pauvreté - de la servitude à la liberté ou à la mort violente. Elles nous promettent, elles nous portent, nous poussent, puis nous abandonnent. Alors nous mourrons comme nous étions nés, au bord d'une route que nous n'avions pas choisie".
"Mes origines" – Amin Maalouf
NB: Merci pour une marocaine
Les derniers mots d’un de mes livres préférés
"…Les textes zen disent que le sentiment d’agonie qui précède l’illumination déclenche le rire. Peu avant de perdre conscience, j’ai vu mon chat Fourrure, et entrevu dans l’obscurité le sourire du chat invisible d’Alice au pays des merveilles. À l’instant de basculer (j’avais quitté terre) j’ai senti la mort s’éloigner, pénétré, envahi, possédé, comme par une ironie inexplicablement réconciliée, qui fixait au passage la face de la Mort…"
"Lazare" – André Malraux
Les 4 lecteurs dont j’aimerais connaître les 4
Jankari (l’hyper occupé) ; Nacer ; B2 ; A to z
Les autres ont été déjà invité ;)